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			Les Ecologistes sont devenus maîtres des rideaux de fumée, et se 
			cachent derrière une réalité prétendument « scientifique », ce qui 
			voudrait leur donner un ascendant moral sur tout contradicteur, 
			forcément mal informé ou mal intentionné, mais le débat climatique 
			n’est plus scientifique depuis longtemps. Le rapport du GIEC est 
			lui-même un rapport politique, dont le contenu est longuement 
			débattu, à huis clos, entre gouvernements et ONGs (La primauté du politique sur le scientifique. Belgotopia, 22 janvier 2019). Même 
			l’affirmation sans cesse brandie que « 97% des scientifiques 
			soutiennent l’influence de l’homme dans le réchauffement » est 
			largement sujette à caution, car issue d’un article très controversé 
			de John Cook en 2013, sociologue et « communicateur du climat » (et 
			pas du tout climatologue), bloggeur du site alarmiste « Skeptical 
			science » et proche de la sulfureuse Naomi Oreskes (97% Consequential Misperceptions: Ethics of Consensus on Global Warming). Une autre 
			étude (Climate Science Survey, Questions and Responses) indiquait plutôt 43% de climatologues persuadés que 
			l’homme avait une influence notable sur le climat, avec une 
			méthodologie bien plus robuste (et idéologiquement neutre). 
			
			Néanmoins, le débat a quasiment quitté la place publique, tant les 
			médias ont fermé la porte à toute opinion levant le moindre doute 
			sur l’influence humaine du réchauffement. Le physicien du MIT 
			Richard Lindzen va encore plus loin, en dénonçant les pressions et 
			intimidations dont les « sceptiques » font l’objet, y compris la 
			suppression de leur crédits de recherche (Climate of Fear: Global Warming Alarmists Intimidate Dissenting Scientists into Silence). 
			
			Le débat reste ouvert 
			
			Heureusement, dans le monde académique, le débat scientifique sur 
			l’origine du réchauffement (Naturel et/ou d’origine anthropique) 
			fait, lui, encore rage avec des articles de bon niveau alimentant 
			les deux camps, pas sur l’existence du réchauffement (le climat se 
			réchauffe lentement et constamment depuis la sortie du dernier âge 
			glaciaire, il y a 10.000 ans) mais sur le fait que le CO² (et en 
			particulier les 4% de CO² d’origine humaine) puisse avoir une 
			influence significative sur celui-ci. Le CO² n’est d’ailleurs pas le 
			principal gaz à effet de serre dans notre atmosphère (c’est la 
			vapeur d’eau pour plus de 90%) et de nombreux physiciens mettent en 
			doute la capacité du CO² à créer un « effet de serre » à si faible 
			concentration (Un peu de chimie-physique pour comprendre l'influence du CO²). 
			
			L’essentiel des prédictions sur le climat sont basées sur des 
			modèles mathématiques, eux-mêmes alimentés par la même base de 
			données HadCRUT4, compilé par le 
			« Climatic Research Unit » de l’Université de East-Anglia 
			(département rendu tristement célèbre par les allégations de fraudes 
			lors du « climategate »). Ces données, issues de stations 
			terrestres, sont controversées de par la sur-représentation de 
			stations terrestres localisées en bord d’agglomérations (Quantifying the effect of urbanization on U.S. Historical Climatology Network temperature records), ainsi 
			que par des accusations répétées de « correction » des données (Audit of the HadCRUT4 Global Temperature Dataset). 
			D’autres séries de données, comme les données UAH ou RSS issues des 
			enregistrements de satellites météo indiquent un réchauffement quasi 
			insignifiant ces 20 dernières années, mais ne sont pas utilisés par 
			les modèles climatiques les plus alarmistes.  
			
			Le résultat est sans appel : une étude rétrospective des prédictions 
			des modèles entre 1993 et 2013, publiée dans « Nature », indiquent 
			que les modèles surévaluent le réchauffement dans 99% des cas (114 
			prédictions fausses sur 117) (Overestimated global warming over the past 20 years). Par contre, une étude récente 
			utilisant des données indépendantes indique que le réchauffement 
			observé est totalement explicable par des facteurs naturels (The application of machine learning for evaluating anthropogenic versus natural climate change) et 
			que même avec les données HadCRUT4, la limite arbitraire des 1,5°C 
			d’augmentation par rapport à l’ère préindustrielle ne sera pas 
			dépassée (Emission budgets and pathways consistent with limiting warming to 1.5°C). 
			
			On est donc loin de la fin du monde agitée en permanence par les 
			alarmistes.   Néanmoins, les résultats réels ne semblent en fait ne 
			plus avoir d’importance car, que la température soit élevée ou 
			basse, qu'il pleuve plus ou moins, qu'il neige ou pas, qu'il y ait 
			plus ou moins d'ouragans, il y a toujours un « expert » pour dire 
			qu'il l'avait prévu, et que n'est bien une preuve de l'existence du 
			"réchauffement d'origine anthropique". Quoique quand on prédit tout 
			et son contraire, il est normal qu'on tombe juste de temps en temps. 
			
			Pourtant, même les tentant de l’accord de Paris admettent que si 
			tous les signataires (donc aussi les USA) remplissaient 100% de 
			leurs engagements (on en est très loin), la différence ne serait que 
			de maximum 0,2°c par rapport au « statu quo » (Paris climate promises will reduce temperatures by just 0.05°C in 2100), ce qui renforce 
			l’hypothèse d’un effet très faible des émissions humaines. Bref, des 
			efforts de centaines de milliards d’Euros, pour un résultant 
			insignifiant. 
			
			Une position de « rebelle » bien commode…mais 
			incohérente 
			
			On peut également s’étonner de la position réactionnaire des partis 
			écologistes, toujours opposé au progrès technologique, qu’il soit 
			dans l’industrie, les transports, l’agro-alimentaire ou les 
			télécommunications. Les plus radicaux allant même jusqu’à s’opposer 
			à la vaccination (Voir le « pétage de plombs » de JM Javaux sur 
			twitter ce week-end), tant l’opposition à tout ce qui n’est pas 
			« naturel » est ancrée dans la mythologie fondatrice de ces partis. 
			
			On ne peut d’ailleurs que relever les incohérences multiples du 
			mouvement écologiste : Qui voulait lutter contre la pollution en 
			favorisant le diesel, qui veut promouvoir le « biocarburant » 
			polluant et qui appauvrit les populations des pays du sud, qui veut 
			décarboner l'énergie en interdisant le nucléaire en faveur 
			d'énergies éoliennes et solaires qui peinent à fournir quelques % de 
			nos besoins de manière irrégulière (ou du charbon, comme en 
			Allemagne), qui veut favoriser les voitures électriques sans savoir 
			comment les recharger,  qui veut mettre en avant une agriculture 
			"bio" qui favorise la déforestation, la surconsommation d'eau et de 
			carburant pour aucun avantage réel (le "bio" utilisant aussi des 
			pesticides). 
			
			Chaque action a des conséquences, et le mouvement écologiste se pare 
			d’une pensée magique qui le prive de devoir y faire face. 
			
			Pourtant 14 milliards d'euros de subsides ont déjà été engloutis rien qu’en 
			Belgique par le seul soutien aux Panneaux Photovoltaïques, pour 
			moins de 0.5% de la production électrique, dans un pays avec peu de 
			soleil, fournis essentiellement quand on n’en a pas besoin (pic de 
			production entre 12 et 14 h, qui est une heure creuse, avec 
			surproduction électrique). 
			
			L’énergie éolienne (encore plus subsidiée) produit certes plus (4% 
			de la production, en moyenne) mais avec une production beaucoup plus 
			irrégulière, discontinue et imprévisible (dont une partie de nuit) 
			qui réduit très peu le recours aux énergies fossile car le temps de 
			réaction (le « temps de conduite ») des centrales au gaz ne permet 
			pas de suivre des variations rapides de production éolienne, et ces 
			centrales restent donc à régime de croisière. Des études 
			indépendantes (Quand les éoliennes augmentent les émissions de CO²) montrent même que les éoliennes augmentent la 
			consommation d’énergie fossile car les variations de régime de 
			production d’électricité « fossile » augmentent la consommation de 
			carburant (comme une voiture qui change de régime en permanence 
			consomme plus qu’une voiture à vitesse constante sur autoroute) ce 
			qui annule l’avantage hypothétique de l’éolien.  
			
			En tout cas, rares sont les pays à avoir réellement réduit leur 
			empreinte fossile grâce à l’éolien, les « champions » Européens en 
			matière d’éolien (Allemagne et Danemark) sont aussi les plus forts 
			émetteurs de CO² (L'intensité carbone de l'électricité européenne à la loupe).  La France, et son énergie nucléaire, produit 
			4 fois moins de CO² que l’Allemagne par MWh produit (et  pour deux 
			fois moins cher) (Le 
			KWh est deux fois plus cher en Allemagne qu'en France).  
			
			Emballement médiatique 
			
			Et tout cet emballement se fait sans que les médias affichent le 
			moindre esprit critique, et reproduisent fidèlement des communiqués 
			d'ONG alarmistes pourtant connues pour jouer fréquemment avec les 
			limites de la réalité :   
			
			Quelques exemples : La pollution atmosphérique tue chaque année 7 
			Millions de personne dans le mode. L’info est vraie dans l’absolu, 
			mais plus de 95% de ces décès arrivent dans les pays en voie de 
			développement, causés non pas par l’automobile mais par l’usage de 
			bois et de charbon pour se chauffer et cuisiner (New map provides global view of health-sapping air pollution). On entretient 
			ainsi la confusion entre pollution globale, et les rares nuisances 
			causées par la voiture dans nos rues européennes. 
			
			L’histoire est similaire avec le plastique dans les océans, dont 95% 
			provient de 10 fleuves situés dans des pays en voie de développement 
			(Une étude scientifique montre que 10 fleuves sont responsables de 90% de la pollution plastique des océans). La pollution marine aux plastiques provenant d’Europe et des 
			USA est quasi inexistante, car nos pays développés disposent 
			d’infrastructures de collecte des ordures et de filtrage des eaux 
			usées. Interdire les pailles et les sacs plastiques en Belgique ne 
			changera rien à la pollution du pacifique sud.  
			
			 Et c’est la même chose avec les mythes médiatiques répétés et 
			aggravés chaque année par les habitués : Une ONG alarmiste (Global 
			Footprint Network) bidouille des statistiques fantaisistes indiquant 
			qu’on a consommé toutes les ressources de la planète en Août ? Le 
			WWF indique que "60% des espèces ont disparu", ou Oxfam que "Les 26 
			personnes les plus riches possèdent plus que la moitié de 
			l'humanité" ? Ou encore Greenpeace qui indique que les cuves des 
			réacteurs nucléaires belges et français sont "fissurées"? Etc etc. 
			 
			
			Tous ces communiqués caricaturaux et biaisés sont recopiés sans 
			nuance et sans esprit critique, sans droit de réponse et quand des 
			démentis argumentés apparaissent, ils sont rarement publiés. Cela 
			soumet à la population à une véritable tornade d'informations 
			alarmistes, exagérées, déformées voire carrément mensongères. 
			
			La désinformation systématique vient même parfois des médias 
			eux-mêmes, avec par exemple le « Cash Investigation » d’Elise Lucet 
			sur le glyphosate, largement décriée dans le monde scientifique et 
			dont les nombreuses corrections d’institutions scientifiques n’ont 
			quasiment reçu aucun écho dans les médias. 
			
			Mais encore une fois, il faut alarmer, et désigner le responsable : 
			L’Homme occidental, accusé de « détruire la planète ».  
			
			L’histoire se répète 
			
			Ce type d'emballement médiatique n'est pourtant pas le premier dans 
			l’histoire récente. 
			
			Dans les années 60-70, un catastrophisme pseudo-scientifique 
			politiquement motivé avait déjà de forts échos dans les médias. On 
			craignait alors un « refroidissement climatique » (le cycle 
			climatique était plutôt descendant entre 1940 et 1975) 
			
			Le "club de Rome" (groupement d’académiques et activistes de gauche 
			fondé en 1966) prévoyait famines, conflits, démographie hors 
			contrôle, pollution énorme, fin du pétrole, etc... et louait le 
			modèle soviétique. 
			
			Paul Ehrlich a publié son "Population bomb" en 1968, qui prévoyait 
			également famines et guerres, car il observait que la croissance de 
			la population était supérieure à la croissance des rendements 
			agricoles. Ce récit alarmiste fut à l'origine de nombreuses mesures 
			liberticides qui font encore frissonner aujourd’hui : Politique de 
			l’enfant unique en Chine aboutissant aux meurtres des bébé filles, 
			stérilisations forcées en Inde dans les années 60 et 70 et dont 
			certaines pratiques survivent encore aujourd’hui. 
			
			Pourtant, aucune de ces catastrophes ne sont arrivées. L’innovation 
			a permis d’augmenter les rendements agricoles, faire baisser la 
			pollution, et de continuer à croître tout en réduisant notre impact 
			sur l’environnement. 
			
			En parallèle, l’humanité n’a jamais été aussi prospère et heureuse. 
			La grande pauvreté a diminué de moitié depuis 1990, ainsi que 
			l’illettrisme. La mortalité infantile s’est fortement réduite. Les 
			famines ont quasiment disparu et l’approvisionnement en eau potable 
			s’est largement amélioré (Ces 9 infographies montrent que la vie s'ameliore pour des milliards de personnes). La croissance démographique ralentit 
			également, car une population en bonne santé, éduquée et prospère 
			fait naturellement moins d’enfants. 
			
			Malgré cela, l’emballement médiatique et populaire cloue au pilori 
			les rares contradicteurs osant encore s’exprimer, taxés de 
			« climatosceptiques », d’être supporter de Trump ou de toucher de 
			l’argent de Monsanto, Total ou McDonalds (pour ne citer que les 
			attaques « ad hominem » les plus fréquentes). La discussion sur le 
			fond étant devenue impossible. 
			
			La corruption n’est pourtant pas toujours là où on croit : Il y a 
			quelques semaines, le principal conseiller climat du gouvernement 
			anglais, John Selwyn Gummer, faisait l’objet d’un scandale dans son 
			pays, après la révélation qu’il ait touché plus de 600.000 £ 
			d’organisations écologistes pour « orienter » les choix du 
			gouvernement. De nombreux activistes ont infiltré des agences 
			gouvernementales, comme Charles Jameson, le responsable de la 
			classification « 2A » du glyphosate à l’IARC (en ignorant une bonne 
			partie des études scientifiques), et parti ensuite monnayer son 
			témoignage au « procès Monsanto » (Glyphosate: WHO cancer agency edited out "non-carcinogenic" findings). 
			
			Une nouvelle offensive sur le pouvoir d’achat 
			
			Début février, des activistes écologistes (présentés par la presse 
			comme des « universitaires », ce qu’ils sont aussi mais c’est bien 
			l’activiste qui s’exprime) ont présenté en Belgique une « loi 
			climat » qui est quasiment un copier-coller des ambitions alarmistes 
			des partis écologistes, avec en objectif une « réduction de 95% » 
			des émissions de CO² (d’origine humaine, j’imagine soit seulement 
			4%), ce qui revient à éliminer tout moyen de transport, de 
			production d’électricité (la « loi climat » exclut spécifiquement le 
			recours au nucléaire), le chauffage (même au bois) ou bien sur 
			l’industrie, pour atteindre la « décroissance » et plonger des 
			centaines de milliers de personnes dans la misère. 
			
			Qu’est-ce qu’une « justice climatique et fiscale » quand les actions 
			proposées sont de taxer l’énergie, l’industrie, l’alimentation et 
			les transports, qui vont largement peser au final sur le budget des 
			plus faibles (20% des ménages belges admettent n’être déjà plus 
			capable de nouer les deux bouts) ? 
			
			Est-ce que cela vaut bien de manifester chaque jeudi pour "plus 
			d'ambitions climatiques" qui n’auront aucun effet positif quand 
			l'enseignement belge francophone dégringole chaque année dans les 
			Etudes PISA, l’endettement du pays dépasse les 100%, le taux de 
			chomage reste perché aux alentours des 10% (et bien plus chez les 
			jeunes), et la compétitivité des entreprises belges reste 
			problématique. Ces défis pèseront bien plus sur l’avenir des 
			générations futures, et sont le fait de mauvais choix politiques. 
			Ces choix peuvent donc être corrigés par le politique dont ce sont 
			les attributions, contrairement au contrôle de phénomènes naturels. 
			
			Exiger un enseignement de qualité, une industrie innovante et solide 
			pour leur fournir de l'emploi, des moyens de transports performants, 
			une gestion saine et rationnelle de l’argent public, des services 
			publics efficaces et des soins de santé excellents, ne sont-ils pas 
			là les objectifs pour lesquels les jeunes devraient défiler dans les 
			rues ? 
			
			Il est en tout cas plus qu’urgent d’avoir un débat ouvert et 
			contradictoire, basé sur des faits, avant que ce courant de pensée 
			unique nous emporte irrémédiablement vers un nouvel obscurantisme. 
			
			Benjamin Damien 
			Scientifique et Entrepreneur 
			  
			
			Résumé des sources citées dans l'article : 
			
			
			1) 
			Quelques remarques sur Greta Thunberg et extinction rebellion, 
			par Nicolas Casaux. 
			 
			
			2) 
			La primauté du politique sur le scientifique. Belgotopia, 22 
			janvier 2019. 
			 
			3) 97% Consequential Misperceptions: Ethics of Consensus on Global 
			Warming. Michelle Stirling, SSRN, 19 décembre 2016. 
			 
			
			4) 
			Climate Science Survey, Questions and Responses, Bart Strengers, 
			Bart Verheggen and Kees Vringer (2015). PBL Netherlands 
			Environmental Assessment Agency. 
			 
			
			5) 
			Climate of Fear: Global Warming Alarmists Intimidate Dissenting 
			Scientists into Silence. By Prof. Richard Lindzen. Global Research, 
			December 15, 2018. 
			 
			6) 
			Un peu de chimie-physique pour comprendre l'influence du CO², 
			Arguments — Revue européenne de science, vol. 3, n°1, hiver 2018. 
			 
			
			7) 
			Quantifying the effect of urbanization on U.S. Historical 
			Climatology Network temperature records. Journal of Geophysical 
			Research: Atmospheres, vol. 118, pp. 481-494, 2013 
			 
			
			8) 
			Audit of the HadCRUT4 Global Temperature Dataset. Robert Boyle 
			Publishing, octobre 2018 
			 
			9) 
			Overestimated global warming over the past 20 years. Nature 
			Climate Change, volume 3, pages 767–769, 28 août 2013. 
			 
			
			10) 
			The application of machine learning for evaluating anthropogenic 
			versus natural climate change, GeoResJ, Volume 14, Pages 36-46, août 
			2017. 
			 
			11) Emission budgets and pathways consistent with limiting warming 
			to 1.5 °C. Nature Geoscience volume 10, pages 741–747 (2017). 
			 
			
			12) 
			Paris climate promises will reduce temperatures by just 0.05°C 
			in 2100. Bjorn Lomborg. 
			 
			
			13) 
			Quand les éoliennes augmentent les émissions de CO². Economie 
			Matin, par Jeau-Pierre RIOU 26/01/2017. 
			 
			
			14) 
			L'intensité carbone de l'électricité européenne à la loupe. 
			BatiActu, 3 janvier 2017. 
			 
			
			15) 
			Le kwh est deux fois plus cher en Allemagne qu'en France. 
			Institut de recherches économiques et fiscales (IREF), par Nicolas 
			Lecaussin & Jean-Baptiste Boone, le 20 novembre 2017. 
			 
			
			16) 
			New map provides global view of health-sapping air pollution. 
			Phys.org, By Adam Voiland, JPL/NASA, 23 septembre 2010. 
			 
			
			17) 
			Une étude scientifique montre que 10 fleuves sont responsables 
			de 90% de la pollution plastique des océans. MediaTerre, 7 novembre 
			2017. 
			 
			
			18) 
			Ces 9 infographies montrent que la vie sameliore pour des 
			milliards de personnes. Science Post, par Brice Louvet, rédacteur 
			scientifique, 10 août 2018. 
			 
			
			19) 
			Glyphosate: WHO cancer agency edited out "non-carcinogenic" 
			findings. Reuters, 19 octobre 2017. 
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